Test du JdG

mercredi 27 août 2008

Le canon EOS 50D

Le premier reflex que lance Canon cette rentrée n’est pas le successeur du plein format EOS 5D, mais l’EOS 50D, un modèle qui vient coiffer l’EOS 40D sans le remplacer au catalogue.

Ce n’est que partie remise. Canon a encore trois semaines pour se placer face au D700 de Nikon. Pour l’heure, sa cible est le Nikon D300 et pour une fois, la concurrence est frontale et Canon n’a pas fait les choses en petit. Le capteur, déjà, toujours en Cmos produit des images de quinze millions de pixels. Une course aux pixels inutile ? Je ne le pense pas, car cela laisse une latitude de recadrage importante, d’autant que la visée reflex n’est pas du quasi 100 %, mais l’habituel 95 % de cette classe de matériel… le D300 excepté.

Le boîtier est celui de l’EOS 40D, avec la même disposition des commandes. A ceci près que l’activation du LiveView ne passe plus par la touche centrale de la molette dorsale, mais par une touche dédiée, celle qui sert aussi à piloter l’impression directe. Sous le LCD, une touche de fonction paramétrable a été ajoutée. Le boîtier, en alliage de magnésium, est protégé de l’humidité et présente une certaine immunité à la pluie, sans toutefois atteindre le niveau de tropicalisation des EOS 1D et 1Ds. On note aussi que le bruit de déclenchement est bien amorti.

A l’intérieur, si le capteur joue le rôle des poumons qui insufflent les pixels, le processeur est tout nouveau, puisque ce reflex est l’occasion pour Canon d’inaugurer le processeur Digic 4, 1,3 fois plus rapide. Une puce qui aura fort à faire, ne serait-ce que pour traiter les hautes sensibilités. Si l’EOS 40D montait à 3 200 Iso, ici la sensibilité culmine à 12 800 Iso ! Même si l’implantation des photosites a été optimisée, avec des microlentilles sans espacement, pour ne pas trop réduire la quantité de lumière qui tombe sur chaque photodiode, quinze millions de pixels sur un capteur APS-C, cela commence à faire beaucoup. Et puis, assurer des rafales de 90 Jpeg, sur une CompactFlash compatible UDMA, 60 sur une CompactFlash qui ne l’est pas, à 6,3 im/s, cela demande du muscle. Surtout quand les données sont délivrées sur 14 bits et qu’une option propose de réduire le vignettage à la volée (26 optiques sont reconnues par le firmware). D’ailleurs, on trouve aussi une réduction du bruit (maintenant à 3 niveaux d’intensité, comme l’optimiseur de luminosité) et un mode de décalage de la dynamique qui préserve mieux les hautes lumières (gain de 1 IL).

L’autofocus repose sur le capteur AF de l’EOS 40D, avec 9 collimateurs disposés en losange, celui du centre étant compatible avec les optiques ouvrant jusqu’à F2,8, les autres avec celles ouvrant à F5,6.


Mise au point sur 9 zones, détection de visages, antipoussière, LiveView sont d’actualité. L’afficheur LCD est maintenant dans la norme du haut de gamme, avec une définition VGA (640 x 480 pixels), secondé par une sortie HDMI pour visualiser les photos dans de bonnes conditions sur un téléviseur Full HD.

Canon, qui a toujours eu des menus clairs et bien différentiés a amélioré leur graphisme. Comme Olympus et maintenant Nikon, les réglages sont accessibles sur le LCD, via la touche Info et le mini joystick, pour un réglage direct, sans passer par les menus ou les touches dédiées.

Les modes PASM et les programmes-résultats sont secondés par un mode automatique CA, destiné au néophyte qui emprunte l’appareil à son propriétaire. Canon lui permet, en marge de l’exposition et de la mise au point auto, de jouer sur quelques réglages, présentés simplement, afin par exemple de jouer sur la profondeur de champ. Un premier regard sur l’ergonomie de cette commande laisse toutefois dubitatif sur ce qu’un vrai débutant comprendra de ce qui lui est proposé.



- DES MENUS REDESSINÉS
Canon a légèrement revu le graphisme des menus, toujours organisés en couleurs thématique (prise de vue, fonctions de personnalisation, menu personnalisable) sur le principe qu’un écran affiche tous les paramètres sans qu’il faille paginer.


- LES RÉGLAGES OPÉRATIONNELS
Le nouveau design des menus est vraiment remarquable. Ici, les réglage du type de fichier montre la présence des formats sRaw1 et sRaw2, pour des images en 7,1 et 3,8 Mpxl. Notez aussi que la compensation d’exposition s’effectue sur une plage de +/-4 Mpxl.


- LES RÉGLAGES D’AFFICHAGE
On remarque que la visée sur le LCD s’enrichit d’un type de quadrillage supplémentaire et d’un nouveau mode de mise au point : la détection de visages. La touche Info devient paramétrable.


- LES FONCTIONS PERSONNALISÉES
Au nombre de 25, elles régissent l’exposition, l’image, les autofocus/cadence et le mode opératoire.


- LE LIVEVIEW
Quand la visée sur le LCD est activée, vous pouvez opérer une simulation de l’exposition et accéder à un zoom (5x ou 10x) pour vérifier la mise au point. Les touches de paramétrages, sur le dessus, restent actives et affichent des menus sur l’écran, plutôt qu’un contrôle sur le LCD monochrome.

Un an après la sortie de l’EOS 40D, Canon a remarquablement su fait évoluer le boîtier qui datait sous plusieurs aspects lors de sa sortie, même s’il était capable de satisfaire le photographe exigeant. La sortie est prévue pour fin septembre, au prix très attractif de 1 499 € le boîtier nu. Avec le zoom F4-5,6/17-85 mm IS USM, il sera vendu 1 899 €, et avec le nouveau zoom F3,5-5,6/18-200 mm IS, il vous en coûtera 2 099 €. A signaler que l’EOS 40D ne quitte pas le catalogue, où son prix est passé à 1 049 €, boîtier nu et à 1 499 € avec le 17-85 mm IS USM.


Fiche technique

- Capteur : Cmos 22,3 x 14,9 mm 15,5 Mpxl
- Format : 3/2
- Pixels utilisés : 15,1 Mpxl
- Définition : 4 752 x 3 168, 3 456 x 2 304, 2 353 x 1 568 pixels
- Stabilisateur : -
- Nettoyage du capteur : Oui
- Protection du boîtier : Partielle
- Sensibilité : 100 à 12 800 Iso
- Formats de fichiers : Jpeg, Raw, sRaw
- Espace de couleurs : AdobeRGB, sRVB
- Monture : Canon EF, EF-S
- Coefficient multiplicateur : 1,6x
- Mise au point auto. : TTL-CT-SIR
- Zones de mise au point : 9 (détection auto ou manuelle), reconnaissance de visage (LIveView)
- Illuminateur AF : Oui (par le flash interne)
- Mise au point : Automatique au déclenchement ou avec suivi, continue, manuelle
- Mode d’exposition : Programmé avec décalage, priorité vitesse, priorité diaphragme, manuel, programmes-résultats (7), mode profondeur de champ
- Mesure de l’exposition : TTL
- Plage d’exposition : IL 0-20
- Type de mesure : Evaluative multizone (35), pondérée centrale, sélective (9 %), ponctuelle (3,8 %)
- Histogramme : Prise de vue et consultation (luminance ou RVB)
- Compensation d’exposition : +/-4 IL par 0,3 ou 0,5 IL
- Bracketing d’exposition : 3 vues vues (+/-2 IL par 0,3 ou 0,5 IL)
- Vitesse : 1/8 000 à 30 s
- Vitesse de synchro X : 1/250 s
- Rafale : 6,3 im/s (16 Raw, 90 Jpeg)
- Retardateur : 2 ou 10 s
- Balance des blancs : Auto, préréglée (6), manuelle, 9 niveaux de correction bleu/ambre ou magenta/vert, réglage de 2 500°K à 10 000°K
- Bracketing balance des blancs : oui (3 images)
- Réglages divers : 6 styles d’image prédéfinis et 3 personnels (contraste, saturation, accentuation, teinte), mode monochrome avec filtres, 25 fonctions personnalisées
- Prise flash : Griffe
- Contrôle du flash : E-TTL II
- Flash intégré : NG 13 (couverture 27 mm en équiv. 35 mm)
- Compensation d’exposition au flash : +/-2 IL par 0,3 ou 0,5 IL
- Commentaires sonores : -
- Visée : Reflex optique (95 %, 0,95x, 22 mm)
- Moniteur : LCD TFT 3 pouces, 920 000 pxl
- Ecran LCD de contrôle : -
- Visée LCD temps réel : Oui, avec grille, histogramme L ou RVB, simulation exposition et autofocus 1 zone
- Modes d’affichage en lecture : Zoom 1,5x à 10x, index (4 ou 9), accès calendaire/dossier, histogramme RVB, diaporama
- Stockage : CompactFlash I/II compatible UDMA
- Interfaces : High-speed USB, vidéo (PAL/NTSC), mini HDMI
- Configurations utilisateur : 3 maxi (réglages d’images)
- Mémoire à l’allumage : -
- Touches personnalisables : 1
- Divers : Priorité hautes lumières, optimiseur d’exposition, réduction du bruit et du vignettage
- Télécommande : Filaire ou infrarouge optionnelle
- Logiciels : Digital Photo Professional, EOS Utility, Photo Stitch, Picture Style Editor
- Accessoires fournis : Accus et chargeur/adaptateur secteur, bandoulière, 1 câble USB, 1 câble vidéo
- Alimentation : Un accu Li-Ion (7,4 V, 1 500 mAh)
- Dimensions : 145,5 x 107,8 x 73,5 mm
- Poids : 730 g (nu)


via le monde de la photo


Canon EOS 50D : 15 mpix format APS-C, 6,3 i/s, 1499 euros

26 août 2008 06:00


Canon dévoile un nouveau reflex expert doté d'un tout nouveau capteur 15,1 Mpix au format APS-C (coefficient 1,6x) : l'EOS 50D (1499 euros nu)

Canon EOS 50D
L'EOS 50D et ses 15 millions de pixels viennent déjà remplacer l'EOS 40D.

Ceux qui attendaient une évolution du reflex plein format EOS 5D devront encore patienter (il reste toujours un espoir pour la Photokina...). Pour la nouvelle collection automne 2008, c'est un nouveau boîtier qui vient étoffer la gamme EOS : l'EOS 50D.


Principales caractéristiques techniques
Canon EOS 50D
Capteur : CMOS 15,1 Mpix, 22,3 x 14,9 mm (coef : 1,6x) avec un "nouveau" système antipoussière
viseur : pentaprisme à 95%. Grossissement 0,95x. Verre de visée Precision Matte Ef-A. Visée sur écran LCD
Sysème autofocus : TTL-CT-SIR par capteur CMOS, 9 collimateurs AF de type croisé. Visée directe : détection de contraste et reconnaissance des visages.
Mesures d'exposition : TTL à pleine ouverture sur 35 zones SPC
- Mesure évaluative (couplée à n'importe quel collimateur AF)
- Mesure partielle (environ 9% du viseur, au centre)
- Mesure spot (environ 3,8% du viseur, au centre)
- Mesure moyenne à prédominance centrale
Sensibilité : Auto (100-1600), 100-3200 (par incréments d'1/3 ou d'1 valeur)
Extensible à H1 : 6400 et H2 :12.800
Obturateur : 30-1/8000 sec, bulb
Écran LCD : 3 pouces, 920 000 points, définition VGA
Rafale : 6,3 i/s sur 90 vues en JPeg et 16 vues en Raw
Formats de fichiers : JPeg, JPeg + Raw, RAW, sRAW1, sRAW2 (14 bits, Canon original RAW 2ème édition)

Vous pouvez télécharger les spécifications techniques complètes de l'EOS 50D au format PDF.

Pour son nouveau boîtier, Canon a placé la barre beaucoup plus haut. Plus haut que tous les concurrents. Le nouveau capteur APS-C (CMOS 22,3 x 14,9 mm) embarque plus de 15 millions de pixels, ce qui en fait, dans le monde du format APS-C, le capteur le plus détaillé du moment.
Voilà de quoi ravir les services marketing et les accros aux mégapixels.
L'autre grande nouveauté, c'est l'arrivée d'un nouveau processeur de traitement des images DIGIC 4. Il fallait sans doute un processeur plus puissant et plus rapide pour digérer l'impressionnant volume d'information tout en conservant une rafale à 6,3 i/s en JPeg ou en Raw (au passage, vous noterez le nouveau format sRaw2 sur lequel nous reviendrons quand nous aurons plus d'informations).
Le nouveau processeur doit également traiter un signal plus bruité (la densité est photosite est plus élevé que sur le précédent modèle). D'après Canon "de nouveaux procédés de fabrication, ainsi qu’une nouvelle conception des photosites et de leurs micro-lentilles permettent d’augmenter les capacités de collecte de la lumière par les capteurs". Le nouveau DIGIC 4 permet d'ailleurs d'accéder à des sensibilités ISO encore inconnues sur les boîtiers Canon : 12 800 ISO.
Les prochains acquéreurs d'un EOS 50D découvriront également l'affichage en haute définition (VGA : 640 x 480 pixels) avec un nouvel écran LCD de 3 pouces capable d'afficher 920 000 points. Bien sûr, il sera possible de bénéficier de cette définition pendant la visée directe (liveview). Par ailleurs, le 50D utilisera un système de reconnaissance des visages pour accélérer la mise au point. Ce système AF viendra compléter les classiques modes AF par détection de contraste ou par détection de phase avec abaissement du miroir.

Le reste de la fiche technique du Canon EOS 50D est un peu plus classique et le nouveau boîtier reprend certaines caractéristiques du 40D : même capteur AF sur 9 collimateurs en croix (les collimateurs centraux sont opérationnels jusqu'à f/2,8), même agréable viseur pentaprisme 0,95x et même système de mesure (avec la mesure spot) et globalement l'interface du boîtier n'évolue pratiquement pas.

Le Canon EOS 50D sera disponible au mois de septembre selon différentes configurations :
- Canon EOS 50D nu : 1499 euros
- Canon EOS 50D + 18-200 mm IS : 2099 euros
- Canon EOS 50D + 17-85 mm : 1899 euros

Canon EOS 50D dos
Canon EOS 50D et son écran LCD 920 000 points.

Canon EOS 50D dessus
La molette de sélection des programmes dispose d'un nouveau mode CA. D'après Canon ce "nouveau mode auto créatif règle automatiquement la mise au point et l’exposition tout en permettant de peaufiner légèrement des réglages créatifs tels que la netteté de l’arrière-plan." Des explications seront nécessaires...

Canon EOS 50D



Le Canon EOS 50D a été officiellement présenté ce matin. Nous avons eu le temps de prendre (rapidement) en main le nouveau reflex équipé du 18-200 mm. De quoi délivrer une première impression.

Avant tout, il convient de préciser que l'EOS 50D ne vient pas, contrairement à ce que j'annonçais ce matin, remplacer le 40D, mais complèter la gamme reflex EOS.

Le capteur CMOS 15 Mpix qui équipe le nouvel EOS 50D est d'une conception entièrement novatrice avec une optimisation de l'espace des micro-lentilles (il n'y a plus d'espace entre celles-ci) pour maximiser l'arrivée de la lumière sur les photosites. Ce nouveau capteur est également plus rapide que celui présent dans le Canon EOS 40D (1,5x plus). Il est en outre épaulé par le processeur DIGIC 4 (lui aussi plus rapide que la précédente version) et qui assure de nombreuses fonctionnalités dont : la réduction du bruit sur plusieurs niveaux (désactivé, faible, standard et importante), la correction automatique de la luminosité, la mise sous tension...Notez que le mode rafale n'est pas dégradé par la gestion du bruit électronique sauf en mode Important.
On remarquera que le passage en mode priorité Haute Lumière est désormais signalé à la fois dans le viseur et sur l'écran LCD par la présence d'un symbole D+.
Le 50D intègre désormais une correction automatique du vignetage et embarque 26 profils d'objectifs (essentiellement des grand-angles EF-S et EF et quelques téléobjectifs). Il sera possible d'augmenter cette base de données jusqu'à 40 objectifs via Pictures Utility.
Le mode visée directe dispose de 3 modes AF. Le mode détection des visages permet de détecter jusqu'à 35 visages. Une simple pression sur le multicontrôleur permet de commuter le mode AF détection des visages au mode AF directe (rapide).
Le système antipoussière a été amélioré. Le filtre passe-bas est traité avec de la fluorite pour renforcer la répulsion des poussières.
Le lecteur de cartes est compatible UDMA et permet une vitesse de transfert de l'ordre de 133 Mo/s (la plupart des cartes actuelles sont à 45 Mo/s).
Les deux modes sRaw et sRaw2 permettent de limiter la taille des fichiers Raw (ils devraient "peser" environ 30 Mo) en diminuant la définition des images par interpolations des pixels. Le mode sRaw a une définition de 7,1 Mpix alors que le sRaw2 a une définition de 3,8 Mpix.
L'EOS 50D dispose d'une prise mini HDMI. Le câble nécessaire pour relier le reflex à un téléviseur HD sera vendu en option.
Deux nouvelles touches font leur apparition : une touche Fn personnalisable (mais peu d'options sont sélectionnables : qualité des images, bracketing d'exposition...) et une touche pour la visée directe.

Nous avons eu également quelques explications sur le mode CA (mode auto créatif dont vous pouvez apercevoir le fonctionnement dans la vidéo). Celui-ci permet de jouer, via des curseurs, sur des paramètres comme la netteté du fond ou l'exposition du sujet. Si la démarche est louable (les notions d'ouverture et de profondeur de champ ne sont pas familières pour tout le monde), on se posera la question de la légitimité d'un tel mode sur un reflex expert. En outre, la mise en oeuvre est assez laborieuse avec des pictogrammes pas facilement identifiables et des manipulations à répétitions pour opérer les changements.

Il est possible de réaliser des micro-réglages de la mise au point (problème de front ou back focus) et d'enregistrer les réglages pour 20 objectifs. Enfin, il est possible d'enregistrer directement les données de copyright dans les champs IPTC des images.

La première prise en main du 50D n'est pas déroutante : le boîtier est pratiquement similaire à celui du 40D. On retrouve donc un reflex bien construit (avec des joints étanches sur les trappes carte et batterie), un viseur plutôt agréable et un autofocus nerveux. L'écran LCD 920 000 points apporte un indéniable confort et la détection des visages s'est montrée des plus véloces.
Bien sûr avec des photosites très petits, on pouvait s'interroger sur le traitement du bruit électronique. S'il n'est pas possible de se prononcer définitivement avant les tests d'un exemplaire définitif, les quelques clichés réalisés se sont montrés vraiment étonnants pour un capteur APS-C jusqu'à 6400 ISO. Avec une définition de 15 Mpix, nous sommes plus qu'impatients de voir les résultats avec un firmware définitif.
Concernant le 18-200 mm IS, l'impression est plus mitigée. Cette optique était attendue, elle pourra décevoir le photographe exigeant. Si la luminosité est de bon aloi (f/3,5-5,6) avec un système de stabilisation, on regrette que la motorisation ne soit pas USM (pas de retouche du point pendant les mouvements), l'absence d'échelle de distance et le parasoleil vendu en option.

via focus numerique